
U P C O M I N G E V E N T S
"Droite et sérieuse, Mélanie Léonard dégage la confiance, le savoir-faire, le bon jugement musical, l’intégrité, l’authenticité et la sensibilité. Elle impose aussi le respect non seulement parce qu’elle respecte la musique, mais qu’elle la comprend et nous la fait comprendre et ressentir.
Dirigeant avec calme, fluidité et clarté, elle apporte un tel niveau de détail dans la Symphonie no 9 de Dvorak qu’on a l’impression de remarquer des choses nouvelles dans cette « Nouveau Monde » pourtant déjà entendue cent fois. Le second mouvement, qu’elle laisse se déployer lentement, est particulièrement tendre et émouvant."
Caroline Rodgers, Ludwig van Montréal, 3 mars 2022
September 21 2023
Chin, Ran, Stravinsky
McGill Contemporary Music Ensemble
Pollack Hall, Montreal
September 25, 26, 27 2023
Symphony New Brunswick
Imperial Theatre, Saint-John
Playhouse, Fredericton
Capitol Theatre, Moncton
"Nous avons retrouvé Mélanie Léonard devant ces nombreux musiciens comme nous l’avions laissée dans notre mémoire face à la vingtaine d’instrumentistes des Violons du Roy : d’une belle clarté et sobriété de geste. Il est très agréable de la voir diriger et c’est une musicienne sérieuse, pertinente et intéressante....Dans l’ouverture Hiawatha, Mélanie Léonard a bien clarifié la structure et les lignes musicales et laissé s’épanouir les couleurs de l’OSM... Dans la Symphonie du Nouveau Monde, ponctuée d’applaudissements entre les mouvements, Mélanie Léonard a laissé le temps à la musique de se développer, comme si elle savourait le moment et la beauté des coloris. Elle a véritablement sculpté le 2e mouvement..."
Christophe Huss, Le Devoir, 3 mars 2022
"...Ce concert avait vraiment tout: originalité et audace du programme, grandeur des interprétations, méticulosité de la préparation musicale. De la musique dans toute sa splendeur, sans effets, sans gestes gratuits, mais touchant à la vérité et à la vraie grandeur."
Christophe Huss, Le Devoir, 12 octobre 2019
"Leonard is a formidable presence. She is tall, maintains near perfect posture on the podium and conducts with an athletic muscular style (...) Here,the soloist was Jessica Linnebach. What a near perfect match she was for this work, together with Leonard's conducting and our TBSO. The second movement, the Adagio, was faultless, and here is where Leonard's conducting revealed her quiet attention to gentle details and support of the soloist.:"
Michael Sobota, The Chronicle Journal, January 21 2017